Titre : |
Le divan de Staline |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean Daniel Baltassat, Auteur |
Editeur : |
Editions du Seuil, 2013 |
Collection : |
Cadre rouge |
Description : |
309 p. |
ISBN/ISSN : |
978-2-02-111670-0 |
Prix : |
20 € |
Résumé : |
1950. Staline, qui n’a plus que trois ans à vivre, se retire quelques jours dans sa Géorgie natale. La Vodieva, sa maîtresse de longue date, le rejoint dans le palais où il s'est installé. Elle est accompagnée d’un jeune peintre qu’elle protège, Danilov, prodige du réalisme socialiste, auteur d’une œuvre inouïe pour célébrer la glorieuse éternité du Petit Père des peuples. Rien, bien sûr, ne se passe pour lui comme prévu. Nuits d’insomnies, interrogatoires infinis, infinie attente. Allongé sur un divan étrangement identique à celui de Freud, Staline joue avec les fantômes qui hantent ses rêves : sa mère, son épouse suicidée, ses années de Sibérie et Lénine, «le plus grand des pères menteurs». Autour de celui qui ne tremble jamais, il n’y a que terreur, soumissions, impitoyable cruauté : son véritable monument d’éternité. |
Note de contenu : |
Remarquable puissance d’évocation où l’imagination prend le relais de la vérité historique.
Sélection Goncourt 2013. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
roman |
Thème de fiction : |
pouvoir/rêve/totalitarisme |
Le divan de Staline [texte imprimé] / Jean Daniel Baltassat, Auteur . - Editions du Seuil, 2013 . - 309 p.. - ( Cadre rouge) . ISBN : 978-2-02-111670-0 : 20 €
Résumé : |
1950. Staline, qui n’a plus que trois ans à vivre, se retire quelques jours dans sa Géorgie natale. La Vodieva, sa maîtresse de longue date, le rejoint dans le palais où il s'est installé. Elle est accompagnée d’un jeune peintre qu’elle protège, Danilov, prodige du réalisme socialiste, auteur d’une œuvre inouïe pour célébrer la glorieuse éternité du Petit Père des peuples. Rien, bien sûr, ne se passe pour lui comme prévu. Nuits d’insomnies, interrogatoires infinis, infinie attente. Allongé sur un divan étrangement identique à celui de Freud, Staline joue avec les fantômes qui hantent ses rêves : sa mère, son épouse suicidée, ses années de Sibérie et Lénine, «le plus grand des pères menteurs». Autour de celui qui ne tremble jamais, il n’y a que terreur, soumissions, impitoyable cruauté : son véritable monument d’éternité. |
Note de contenu : |
Remarquable puissance d’évocation où l’imagination prend le relais de la vérité historique.
Sélection Goncourt 2013. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
roman |
Thème de fiction : |
pouvoir/rêve/totalitarisme |
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