Titre :	L'homme qui m'aimait tout bas
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Eric Fottorino, Auteur
Editeur :	Gallimard, 2009
Autre Editeur :	nrf
Description :	147 p.
ISBN/ISSN :	978-2-07-012463-3
Résumé :	Mon père s'est tué (...) le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait "à l'ancienne", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. "Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui.' Éric Fottorino.
Note de contenu :	Sélection Goncourt 2009.
Nature du document :	fiction
Genre :	biographie
Thème de fiction :	adoption/amour paternel/famille

L'homme qui m'aimait tout bas [texte imprimé] / Eric Fottorino, Auteur . - Gallimard : nrf, 2009 . - 147 p.
ISBN : 978-2-07-012463-3

Résumé :	Mon père s'est tué (...) le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait "à l'ancienne", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. "Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui.' Éric Fottorino.
Note de contenu :	Sélection Goncourt 2009.
Nature du document :	fiction
Genre :	biographie
Thème de fiction :	adoption/amour paternel/famille